Le peuple africain qui subit certains des pires effets de la hausse des températures mondiales, a besoin d’une action sérieuse pour répondre aux extrêmes climatiques mortels.
Dans les rues de Dakar, les femmes rurales sénégalaises réclamant la justice climatique ont exprimé la semaine dernière leur souffrance des effets du changement climatique.
Selon l’avocat spécialisé en environnement, Maître Mouhamadou Lamine Seck, la lutte contre le changement climatique est très difficile et nécessite des ressources humaines, matérielles et financières dont les femmes ne disposent pas.
L’Afrique ne représente que 4% des émissions mondiales et les émissions par habitant de l’Afrique sont nettement inférieures à la moyenne mondiale.
Cependant le continent est touché de manière disproportionnée par la hausse des températures mondiales et l’aggravation des conséquences climatiques, notamment la désertification, la sécheresse, les cyclones provoquent des pénuries alimentaires ainsi que des déplacements et des migrations.
Le peuple africain qui subit certains des pires effets de la hausse des températures mondiales, a besoin d’une action sérieuse pour répondre aux extrêmes climatiques mortels.
D’après l’UNFCCC, le continent africain qui est riche en ressources telles que les énergies renouvelables, les minéraux, l’agriculture et le capital naturel, est prêt à stimuler sa propre croissance verte.